Qui donc soupçonnerait
Le doux le cher secret
Ton monde est loin de ma Bohême ;
Personne ici ne voit
Que ces mots vont vers toi
Je peux crier, chanter : je t'aime
Nous savons seuls ce que, nul n'imagine,
O ! ma caline, ô ma divine !
Elle a de si beaux yeux, Messieurs
Des yeux d'un bleu si bleu, Messieurs !
[...]
Commentaires
Bernard Lhoste le 2018-07-13 à 19h10
La page 2 est celle de Sur une terrasse de Montparnasse (musique de Oberfeld) du coup je n'ai pas la vraie page 2. Merci à celui qui la fera paraitre.